France-Soir commente le rapport du sous-comité spécial Covid Select, résultat d’une enquête de 2 ans et riche de 513 pages. L’introduction de ce comité révèle que les instances américaines n’ont toujours rien compris au dossier. Volontairement ?
Brad Wenstrup , président dudit comité assène ainsi :
« This work will help the United States, and the world, predict the next pandemic, prepare for the next pandemic, protect ourselves from the next pandemic, and hopefully prevent the next pandemic. »
« Ce travail aidera les États-Unis et le monde à prédire la prochaine pandémie, préparer la prochaine pandémie et à, espérons-le, nous protéger de la prochaine pandémie et, souhaitons-le, à prévenir la prochaine pandémie. »
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Ici, le propos signifie que ce que nous avons vécu depuis plus de 4 années est une pandémie alors qu’il n’en est rien. L’OMS a opportunément changé la définition officielle du mot : c’est son affaire, et la mystification a été dénoncée en son temps*. La nôtre est de nous souvenir de celle qui était en vigueur jusqu’à cette révision scélérate.
Klaus Schwab et ses affidés ont aussi prédit, en octobre 2019, la survenue rapide d’une pandémie. Et pour cause : ils l’ont confectionnée. Alors ?
Du coup, le reste du rapport, pour révélateur du travail accompli qu’il soit, se lit avec une arrière-pensée qui est très loin d’être positive et un arrière-goût amer. Retenons, par honnêteté, que nombre de structures étatiques ou para-étatiques américaines y sont mises à mal encore que beaucoup d’autres acteurs aient été — volontairement ? — omis. Je préfère personnellement, encore qu’il soit quelque peu hors-contexte puisqu'hexagonal, le récent « J’accuse » de Xavier Azalbert qui va droit au but.
Ce dernier ratisse beaucoup plus large, quitte à défriser un brin. Et il défrise.
Dénoncer un désordre est une chose. Y apporter les remaniements nécessaires en est une autre. Kennedy et Jay Bhattacharya**, récemment nommé à la tête de l’Institut National de la Santé (National Institute of Health) auront bientôt le rênes en main.
Sauront-ils les utiliser ?
Trump avalisera-t-il leurs solutions pour autant ?
Le DoJ prendra-t-il les choses en main, ainsi que le rapport le suggère fortement, au lieu d’attendre lâchement des dépôts de plainte hypothétiques et des condamnations non moins hypothétiques ?
Rien n’est moins sûr.
NOTES :
* En réalité rien ne justifiait de sonner l’alerte à ce niveau. Cela n’a été possible que parce que l’OMS a changédébut mai sa définition de la pandémie. Avant cette date il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au dessus des moyennes habituelles. On a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie. Et on a prétendu que le virus était dangereux car les populations n’avaient pas pu développer de défense immunitaires contre lui. Ce qui était faux pour ce virus.
[Source : http://collectifbrignoles.over-blog.fr/article-grippe-a-ils-ont-organise-la-psychose-42504724.html ]
** Avec Martin Kulldorff et Sunetra Gupta, il a été co-auteur en 2020 de la déclaration de Great Barrington, qui préconisait la levée des prescriptions sanitaires du Covid-19 des restrictions imposées aux groupes à faible risque pour développer une immunité collective grâce à une infection généralisée, tout en promouvant l'idée marginale selon laquelle les personnes vulnérables pourraient être simultanément protégées contre le virus
[Source : Wikipedia]