Si certaines officines ne laissent aucun doute sur leur sentiment face à l’holocauste CoVID, certaines autres, parées des plumes du paon, avancent sous des dehors chatoyants.
Je suis abonné depuis quelques temps à la newsletter de Nothing2Hide.
Les travaux de cette association(*) portant, entre autre, sur l’éducation à l’informatique, la démarche ne pouvait que me plaire.
J’ai donc reçu ce matin le dernier exemplaire de leur gazette ainsi libellé :
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Tout comme vous, j’imagine, j’ai une affection/répulsion toute particulière pour ce mot, devenu fourre-tout. J’ai donc cherché à en savoir plus.
La suite de la gazette indique alors un partenariat avec une autre structure que je ne connaissais pas :
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Le trio infernal est désormais composé. Toutefois, coiffé par une structure d’enseignement, publique, il acquiert une forme de crédibilité institutionnelle.
Aimant tout de même le concret, j’examine la prose de ce Factoscope. Ne reconnaît-on pas un arbre à ses fruits ?
La page Articles du site contient quelques pépites, telles :
Qu’ajouter ?
Que ledit Noting2HIde qui s’est accoquiné avec Factoscope poursuit sa croisade sacrée :
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… « sacrée » car il précise bien :
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pour le bien public, en somme : il le fait bien sentir !
Abondance de biens ne nuisant pas, il fait même la publicité pour Proton, un service Webmail, dont le vilénie a été prouvée et qui est techniquement une véritable passoire.
Mais je suis finalement une mauvaise langue, comme le prouve l’image jointe, tirée, naturellement, du même Nothing2Hide :
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Je me demande bien comment vont réagir — si tant est qu'elles le fassent jamais — les personnes mentionnées dans la page « Qui sommes-nous ? », à supposer qu’elles ne soient pas elles-mêmes les instigatrices de cette Collaboration. La majuscule prend ici toute son importance.
(*) « association » ? Qu'est-ce à dire ? Car cela n’informe en rien (un comble) sur sa forme, les mentions légales faisant cruellement défaut. Une paille. Pour un organe dresseur de torts, cette illégalité fait tache. Elle s’auto-définit comme une ONG.
Il faudra bien que nous nous contentions de ce vocable.