La propagande, quel que soit son domaine d’intervention, utilise très souvent la même novlangue. Cela permet donc de la pister.
Ma veille CoVID se double toujours d’une autre, axée sur les merdias, qu’il s’agisse de la presse généraliste ou de la presse propagandiste dite spécialisée. Cela double la charge de travail mais c’est nécessaire si l’on veut obtenir une visibilité élargie avec datation et, surtout, savoir qui complote.
Le très conformiste magazine JIM vient ainsi de publier un article sous la plume de Alessia Melzani et intitulé :
« Virus Nipah : un vaccin prometteur »
Vous avez, avec ces deux derniers mots, une association qui traduit une entreprise de propagande. Franchement, imagineriez-vous faire une communication sous quelque forme que ce soit en annonçant qu’un vaccin à l‘étude est mauvais ?
C’est pourtant ce que font tous les laboratoire pharmaceutiques qui en produisent… et leurs thuriféraires comme JIM. Et oui, car, il me faut le rappeler encore et encore :
« il n’existe pas de preuve scientifique sur l’utilité des vaccins »
(rapport du Sénat de juin 2007)
Comment, dans ces conditions, un vaccin pourrait-il être prometteur alors qu’aucune preuve sur l’utilité de ces derniers n’a pu être démontrée depuis 1885, date du « vaccin » contre la rage ? 139 années à ce jour. Un bail…
Vous croyez que cet abus de langage (je reste poli) n’est en fait que très épisodique ?
Google va vous afficher pas moins de 1 730 000 occurrences de l’expression : « vaccin » et « prometteur » dans une proximité de deux mots.
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Maintenant, si l’on occulte la campagne d’intoxication actuelle sur le virus Nipah, nous « redescendons », tout de même, à 1 650 000 occurrences.
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Est-ce assez clair ou faut-il développer ?
Terminons, si vous le voulez bien, sur une autre arithmétique. La différence entre ces nombres, soit rien moins que 80 000 pages, indique le nombre de valets de la propagande ayant promu ce vaccin encore totalement virtuel.
Respect.
SI j’ose dire.